La réforme des normes encadrant le secteur éolien est arrivée sur la table du gouvernement wallon. Cette réforme fait encore l’objet de divergences de vues entre les partenaires de la majorité.

Dans le jargon, on l’appelle la “pax eolienica”. Il s’agit d’un ensemble de mesures destinées à favoriser l’implantation d’éoliennes en Wallonie. Le dossier, porté par Philippe Henry, le ministre wallon de l’Énergie (Écolo), a été discuté ce lundi au sein du gouvernement wallon. Faute d’accord entre les partenaires de la majorité, le point devrait être remis à l’ordre du jour la semaine prochaine. On en est toujours au stade de la première lecture.
Depuis plusieurs années, le secteur éolien se plaint des barrières qui freinent le développement de la filière en Wallonie. Le sujet est délicat. En effet, la réglementation sur l’implantation d’éoliennes est très suivie en Wallonie. Notamment par une série d’opposants à cette technologie, comme l’association “Vent de raison”.
Philippe Henry marche donc sur des œufs. Selon nos informations, l’une des mesures proposées par le ministre Écolo consiste à revoir la réglementation relative à la distance minimale à respecter entre une éolienne et une habitation. Actuellement, cette distance est de minimum quatre fois la hauteur de l’éolienne. Pour une éolienne de 150 mètres de haut, il faut donc respecter une distance minimale de 600 mètres avec l’habitation la plus proche.
Les promoteurs éoliens réclament depuis longtemps le changement de cette réglementation. Ils souhaiteraient qu’une distance fixe de 600 mètres soit suffisante. Quelle que soit la hauteur de l’éolienne. Cela permettrait de faciliter l’implantation d’éoliennes de 180 et 200 mètres de haut, qui produiraient respectivement 30 et 50 % d’électricité en plus qu’une éolienne de 150 mètres. Les promoteurs éoliens avancent le fait que les normes de bruit devraient de toute façon être respectées.
Du bruit, le projet de Philippe Henry risque en tout cas d’en faire. Du côté du MR, on reconnaît qu’il subsiste “de nombreux points d’achoppement”. Mais on ne veut pas en dire plus afin de laisser une chance aux négociations d’aboutir.

Éoliennes obsolètes en Wallonie

Du côté du cabinet de Philippe Henry, on indique que des réunions doivent encore avoir lieu cette semaine pour tenter d’aboutir à un accord. Le cabinet Henry nous livre également quelques éléments qui sont sur la table. “La Wallonie souffre d’un retard technologique général au niveau de sa flotte d’éoliennes, notamment au niveau de la hauteur des mâts. La Wallonie ne peut donc pas tirer parti des augmentations de puissance actuellement disponibles sur le marché, permettant une meilleure rentabilité d’énergie produite. Or les nuisances sonores liées aux éoliennes ne sont pas nécessairement corrélées à leur gabarit. De plus, si une éolienne est plus puissante, il faudra en installer moins, comparativement, pour atteindre une production donnée.” Entre les lignes, on comprend qu’une modification des normes de distance est bien sur la table.
Le cabinet Henry ajoute que les procédures d’octroi définitif d’un permis éolien sont souvent longues (parfois 10 ans). “Pendant ce temps, les technologies évoluent et rendent obsolètes celles autorisées dans le permis finalement octroyé, précise-t-il. Notons également que ces nouvelles technologies sont plus productives et donc moins coûteuses et nécessitent moins de soutien public. Cela est renforcé par le fait que les producteurs d’éoliennes commercialisent de moins en moins les éoliennes habituellement installées en Wallonie, ce qui en fait augmenter le prix”.
Le cabinet Henry espère donc diminuer la durée totale de la procédure menant à l’octroi définitif des permis. Il rappelle qu’il s’agit d’une récente recommandation de la Commission européenne.
Plus consensuel, Philippe Henry veut améliorer l’acceptabilité sociale des projets éoliens moyennant l’implication des communes et des citoyens.

Source: La Libre, auteur Laurent Lambrecht, photo: ©JL Flemal.

In het kader van de Green Deal, heeft de Commissie recent haar strategie gepubliceerd met betrekking tot zonne energie. Om zo haar klimaatdoelstellingen te helpen halen.
‘Zonnedaken’
Deze strategie omvat ondermeer een initiatief met betrekkking tot ‘zonnedaken’, deze zal
eerstdaags worden gepubliceerd.
Met dit intitiatief zullen zonnepanelen verplicht moeten worden geïnstalleerd op:

  • Alle openbare gebouwen en nieuwe commerciële gebouwen waarvan de nuttige oppervlakte meer dan 250m2 bedraagt en dit tegen 2026;
  • Alle openbare gebouwen en bestaande commerciële gebouwen waarvan de nuttige oppervlakte meer dan 250m2 bedraagt en dit tegen 2027;
  • Alle nieuwe residentiële gebouwen tegen 2029;
  • Alle nieuwe gebouwen zullen moeten voorzien zijn van de nodige infrastructuur om zonne energie installaties toe te laten, ze zullen ‘zonne-energie-klaar’ moeten zijn.

Tevens zullen de lidstaten verplicht steunprogramma’s moeten opzetten ter bevordering van de installatie van zonne energie op de gebouwen, zowel voor de nieuwbouw als voor renovaties.



La Commission européenne annonce sa stratégie pour le photovoltaïque!

Dans le cadre du Green Deal, la Commission a récemment publié sa stratégie pour l’énergie solaire afin de se donner les moyens d’atteindre ses objectifs climatiques.
Des toits “solaires”
Cette stratégie comprend notamment une initiative sur les ‘toits solaires’ qui sera publiée dans les jours à venir.
Cette initiative devrait rendre obligatoire l’installation de panneaux photovoltaïques sur:

  • Tous les bâtiments publics et commerciaux neufs dont la surface utile est supérieure à 250m² d’ici 2026;
  • Tous les bâtiments publics et commerciaux existants d’une surface utile supérieure à 250m² d’ici 2027;
  • Tous les bâtiments résidentiels neufs d’ici à 2029;
  • Tous les bâtiments neufs devront être ‘prêts pour le solaire’, c’est-à-dire conçus pour optimiser le potentiel de production et permettre l’installation fructueuse de technologies solaires.

Par ailleurs, les États membres auront également l’obligation d’établir des programmes de soutien à l’installation de systèmes photovoltaïques intégrés aux bâtiments, tant pour les nouveaux bâtiments que pour les rénovations.

Perpetum is a fast growing company. So a new workplace is on the agenda.
It was therefore decided to team up (of ‘join forces’)with the renowned Ghent architectural firm, CAAN, to design and build the new offices. We look forward to moving to our new workplace at the end of 2022. This move means a lot to our growth and daily operation. Naturally, we equip the building with our latest technologies related to renewable energy. All roofs and walls are equipped with solar panels. All parking spaces with charging stations. A battery is provided to absorb the extra production of electricity produced by the solar panels. For sustainability, the complete home automation is built with LED lighting and the geothermal with a BEO field. In the meantime, work is progressing smoothly on the 1900m2 building, which houses 1300m2 of offices and 600m2 of warehouse and workshop. Everything is being prepared for our next (literal) move!